La valse des mots
  • Accueil
  • Biographies
    • POURQUOI ECRIRE SA VIE ?
    • POURQUOI FAIRE APPEL À UN BIOGRAPHE ?
    • MES PRESTATIONS DE BIOGRAPHE
    • ETHIQUE ET DEONTOLOGIE
    • UN CADEAU ?
  • Autres prestations
    • PARTICULIERS ET ETUDIANTS
    • ENTREPRISES
  • Tarifs
  • Qui suis-je ?
  • Contact
  • Avis clients
  • Blog
  • CGV

À petits pas dans l'édition de La fille de l'Iranien

23/10/2020

0 Commentaires

 
Photo
Bonjour à toutes et à tous !

Fraîchement réalisée par notre éditeur, nous sommes heureux de vous présenter la couverture de notre futur livre :

La fille de l'Iranien, de Saint-Nazaire à la Côte d'Amour, naissance de l'industrie et du tourisme

Cette couverture, elle nous correspond tout à fait. L’arrivée du chemin de fer dans la région tient une place importante dans notre récit, et le train symbolise bien les différentes migrations que connaissent nos personnages. 

Nous profitons de ce message pour vous donner des nouvelles de l’avancement de notre projet. 

La campagne de précommandes est bien avancée grâce à vos soutiens. Nous remercions encore toutes celles et tous ceux qui ont participé et qui recevront bientôt leur livre et verront leur nom apparaître à l'intérieur ! 
 
Notre objectif n’est pas encore tout à fait atteint, alors n’hésitez pas à rejoindre l’aventure ou à partager autour de vous ce lien qui permet de réserver un exemplaire du livre avant sa fabrication : 
https://www.simply-crowd.com/produit/la-fille-de-liranien/ 

Après maintes relectures, le texte du livre est validé. Il ne reste plus qu'à finaliser le montage de la maquette et à lancer les impressions ! On a hâte de vous faire découvrir cette histoire unique qui nous tient à coeur ! L'histoire de Blanche Lascombes et de sa fille, ainsi que de Grégoire, Mirza, Charles, Jeanne ou encore François !  Même si une part de leur vie est romancée, elles sont des personnes qui ont bel et bien existé et pour lesquelles nous nous sommes attachés à raconter le parcours ! 

À très bientôt pour la suite !

Et, d'ici là, bonnes séances de lecture à vous, la tête plongée dans vos romans, BD ou essais préférés ! 
0 Commentaires

Une seconde émission de radio pour partager le métier d’écrivain public qui nous unit

14/10/2020

0 Commentaires

 
Le mois dernier, je vous expliquais comment j’ai participé à l’enregistrement d’une émission de radio pour parler de mon métier, accompagnée de deux consœurs de la région nantaise. Parce qu’une émission ne pouvait suffire à transmettre aux auditeurs tout ce que nous avions à dire sur le métier qui nous unit, Myriam Cabandé, Élisabeth Chauvin et moi-même avons poursuivi les échanges au cours d’une deuxième émission, diffusée le 5 octobre 2020.

Voici le lien pour l’écouter et la podcaster.
​
Le métier « d’écrivain public » n’est pas bien connu. On s’imagine généralement qu’un écrivain public est une personne qui rédige des courriers administratifs pour ceux qui ont des difficultés à le faire. Cela est vrai, mais un écrivain public fait bien plus que cela. Spécialiste de l’écrit, il est aussi biographe, correcteur, rédacteur, ou animateur d’atelier d’écriture.
émission de radio métier écrivain public biographe radio fidélité
​Cette fois-ci, Myriam Cabandé et Élisabeth Chauvin ont tout d’abord abordé plus précisément le métier de correctrice. Après avoir présenté les qualités qu’elles jugent nécessaires pour le réaliser (grande culture générale, extrême minutie, patience, etc.), elles ont discuté des outils qu’elles utilisent pour les assister et les types d’ouvrages qu’elles corrigent. Réalisant désormais des corrections de temps à autre, j’ai notamment pu aborder les travaux d’étudiants sur lesquels il m’a été donné de travailler, obligeant à une forme d’acculturation dans les domaines d’études concernés.
​
Dans cet article, je vais cependant surtout vous parler de la réalisation de biographies, sur laquelle nous avons pu longuement échanger au cours de cette émission. Nous avons répondu à quelques questions courantes qui peuvent se poser en la matière.

Qui sont les personnes qui veulent raconter leur histoire ?

Nous nous sommes rejointes sur l’idée d’essayer de catégoriser les différents profils. Des personnes âgées motivées par leurs proches, à ceux qui souhaitent raconter leur carrière et parcours d’entrepreneur, en passant par celles et ceux qui cherchent à panser leurs plaies, faire passer un message fort ou relater une expérience de vie marquante et/ou douloureuse, les cas de figure sont divers. Bien souvent, nous constatons des différences de motivations et d’approches entre les femmes et les hommes. 

Quelles sont les qualités nécessaires pour être biographe ?

​Elles se résument en deux catégories, les qualités d’écriture et les qualités humaines. Les qualités humaines sont fondamentales, car, avant d’entrer dans l’intimité d’un conteur, une relation privilégiée doit s’être instaurée pour que celui-ci soit à l’aise et enclin à se confier. À mon sens, la chaleur humaine et la convivialité facilitent le processus. Être biographe, c’est aussi faire preuve d’une grande ouverture d’esprit et d’un non-jugement et avoir résolument le goût des gens et du grand âge. En parallèle, les compétences en écriture sont une évidence, car on est bel et bien là pour écrire un livre.
​
J’ai cependant voulu ajouter une précision qui me semble essentielle pour bien comprendre notre métier. Les personnes qui font appel à un écrivain public – biographe pour rédiger leur récit de vie n’ont pas forcément une problématique d’écriture, elles ont surtout besoin d’être épaulées. Je me positionne toujours en coéquipière. Certaines ou certains pourraient tout à fait écrire leur vie eux-mêmes, mais la tâche est tellement fastidieuse, longue, qu’ils s’en sentent peu capables et sont découragé.e.s. Par où commencer ? Comment organiser, ranger, tous ces souvenirs enchevêtrés ? Quand on raconte sa vie, on est rapidement submergé par le flot des souvenirs, tandis qu’une personne extérieure aura le détachement, le recul pour organiser les faits et émotions. 

Quels sont les points de vigilance lorsqu’on exerce ce métier ?

Mes consœurs et moi avons aussi abordé les points de vigilance, d’attention que nous devons garder à l’esprit lorsque nous écrivons la vie d’autrui. En se référant à l’expression populaire : « Les paroles s’envolent et les écrits restent », nous avons expliqué comment protéger le conteur de sa sincérité pour éviter qu’il blesse ses proches. Sans pour autant lisser le récit, nous devons savoir retirer ou reformuler des propos qui pourraient heurter la sensibilité d’un enfant, du conjoint, etc. En somme, il s’agit d’écarter du récit ce qui pourrait blesser l’autre.
​
Autre point de vigilance crucial : un écrivain public n’est pas un thérapeute, sauf si, bien sûr, il a la double compétence. Nous ne pouvons nier le fait qu’écrire sa vie a souvent une visée thérapeutique, cachée ou non, avouée ou non, et que le projet aura des effets sur le conteur. Cependant, ces effets doivent être dans la mesure du possible anticipés. C’est pourquoi, avant de m’engager auprès d’un nouveau client, je prends toujours le temps de m’assurer qu’il est plus ou moins en paix avec son passé, même si, de toute évidence, on ne peut jamais l’être totalement, et l’on ne peut déterminer à l’avance quelles seront les conséquences du travail d’écriture et de relecture chez le conteur. L’objectif est que le projet se passe bien pour le conteur comme pour le biographe. En pratique, certains récits de vie devront être mis en pause ou à l’arrêt parce que l’on ne peut se prémunir de tout. En outre, certains décident justement d’écrire leur vie pour avancer dans la digestion de leurs souffrances, et nous pouvons les accompagner lorsque la démarche est clairement définie. Parmi ceux-là, une partie d’entre eux se « soigneront » au cours du processus, et laisseront parfois un livre inachevé pour passer à autre chose. D’autres, à l’inverse, réveilleront les fantômes et se rendront compte que « c’était mieux avant », et qu’il est préférable de refermer les portes du passé.

En conclusion
, ce second moment d’échanges aura été tout aussi agréable que le premier. Quel plaisir de partager son quotidien avec deux autres écrivains publics passionnés ! Nous avons affirmé notre bonheur d’exercer ce métier magnifique. Un métier au cœur de la vie des gens, comme j’aime à le dire, et particulièrement enrichissant. Si certaines personnes souhaitent se lancer dans l’aventure, nous ne pouvons que leur conseiller vivement de le faire !

Pour en savoir plus, voici le lien de l’émission : https://www.radiofidelite.com/2020/10/05/ecoute-ecrit-vous-fait-decouvrir-le-metier-decrivain-public-2/.

Je vous souhaite une très belle écoute !

Si vous vous posez encore des questions sur le métier, n’hésitez pas à me laisser un commentaire !
Et si, vous aussi, vous êtes écrivain public, je vous invite à me faire part de vos ressentis par rapport aux points que nous avons abordés ! 
0 Commentaires

La fille de l'Iranien, un roman historique écrit à 4 mains

24/9/2020

0 Commentaires

 


​Un histoire située en Côte d’Amour, entre Saint-Nazaire et La Baule
​

Les romans historiques et les histoires locales vous passionnent ? Vous aimez ce genre littéraire qui permet de se faire plaisir tout en se documentant ?

Ça tombe bien, car La fille de l’Iranien, sous-titré : de Saint-Nazaire à la Côte d’Amour, naissance de l’industrie et du tourisme va bientôt être édité par les Éditions Maïa.

Et j’ai le plaisir de vous annoncer qu'il s'agit d’un des livres que j’ai coécrits !
  
La fille de l'Iranien, c'est une histoire unique, mêlant roman, faits historiques et récit familial, située entre landes et marais, de Saint-Nazaire à Pornichet et La Baule. Imaginez le sable chaud, la mer, le port et ses paquebots, les effluves de pinèdes…
Photo
Affiche faisant la promotion de la villégiature sur la Côte d'Amour
Elle y retrace le parcours de deux familles ayant quitté leurs terres natales à la fin du XIXe siècle pour s’installer dans cette Presqu’île alors en plein renouveau, grâce à l’arrivée du chemin de fer, au lancement des chantiers navals et à l’essor de l’activité balnéaire. Le destin de ces deux familles va croiser celui d’un jeune officier américain, d’un étudiant iranien et d’un russe blanc dans les tourbillons de ce tout début du XXe siècle, et puis Blanche, celle qui aurait dû être l’épouse discrète d’un commerçant ou d’un fonctionnaire provincial et qui a tout fait comme il ne fallait pas, comme elle voulait, comme elle devait.

Jusqu’au début du XIXe siècle, « la Presqu’île » était une terre sauvage, une page encore vierge sur laquelle la modernité allait s’imprimer en quelques années, l‘industrie, les chemins de fer, le tourisme allaient y déferler. Des dizaines de milliers de personnes allaient s’y installer, la guerre la ravager, et elle allait renaître encore. ​


​Un livre écrit à 4 mains
​

Ce livre, c’est aussi le résultat d’une rencontre fructueuse qui nous a conduits, Pascal Delvigne et moi, à écrire à quatre mains, l’histoire de sa famille, agrémentée de parties romancées là où les informations nous manquaient, là où il fallait combler quelques failles dans le récit. Mais ce livre se veut aussi le reflet de la Grande Histoire : le débarquement des Américains en 1917, la Révolution russe de la même année, etc., et raconte comment les chantiers navals nazairiens sont nés, ainsi que le tourisme balnéaire dans le secteur de Pornichet – La Baule, sur fond d’Années Folles, de jazz et de guinguette à Bougival.
Photo
Joséphine Baker, icône des Années Folles
 Écrire à quatre mains, ce fut une aventure des plus réjouissantes pour moi. Bien sûr, tout n’a pas été simple. Il a fallu travailler sur l’harmonisation de nos styles et la fluidité de l’ensemble. J’en retiens surtout que cela est possible et qu’à deux on s’enrichit et se complète parfois à merveille, si tant est que l’on se fasse confiance et accueille les idées et talents de l’autre. Un travail de longue haleine où chacun a trouvé sa place et a contribué à l’aboutissement de ce beau projet. Un duo de choc même, tant Pascal et moi formons une équipe tout terrain !
Photo
Paquebot Le Normandie
Photo
Arrivée du chemin de fer à La Baule


​Une campagne de précommandes
​
​

Photo
Aujourd’hui, le livre est en cours d’édition, alors si cette histoire locale en Loire-Atlantique (mais pas seulement) vous intéresse, si vous aimez le jazz, les Années Folles, la plage et les chantiers navals, nous vous invitons à rejoindre l’aventure et à laisser votre empreinte dans ce livre...

Une campagne de précommandes et de promotion est lancée sur :
https://www.simply-crowd.com/produit/la-fille-de-liranien/

C’est grâce aux diverses contributions que ce livre pourra voir le jour ! Vous en découvrirez un résumé et un extrait sur la page de la campagne. Un grand merci par avance pour votre appui et les partages autour de vous !
​
Si vous souhaitez continuer à suivre les actualités de La fille de l’Iranien, rejoignez la page Facebook dédiée !

À très bientôt !

0 Commentaires

2 émissions de radio pour découvrir le métier d’écrivain public

14/9/2020

0 Commentaires

 
​Il y a quelques semaines, j’ai eu l’immense plaisir de participer à l’enregistrement de deux émissions de radio entièrement dédiées au passionnant métier d’écrivain public, qu’est le mien. 
Photo
Parler à la radio a toujours été un rêve enfoui au fond de moi (et ceux qui me connaissent savent à quel point je m’adonne tout au long de ma vie à la réalisation pas à pas de mes rêves, qu’ils soient grands ou petits !). Et je ne saurais trop dire pourquoi prendre la parole au micro d’un studio me faisait fantasmer. Peut-être est-ce parce que pour moi écouter une émission de radio possède quelque chose de magique et d’intime. Où que l’on soit ou presque, quoi que l’on fasse (ou presque !), allumer sa radio et s’abandonner à des voix inconnues, de personnes que l’on ne verra jamais, m’apporte une satisfaction particulière. Parce que seules nos oreilles sont sollicitées, notre esprit demeure disponible pour s’instruire, comprendre, réfléchir sur le contenu de ce que l’on nous transmet.

Par ailleurs, comme je trouve amusant et plaisant l’exercice de m’exprimer en public sur des thèmes qui me sont chers, c’est tout naturellement que j’ai répondu avec le plus grand enthousiasme à l’invitation de Myriam Cabandé, animatrice de l’émission Écoute-écrit. Elle nous a conviées, Élisabeth Chauvin (une autre écrivain public de la région nantaise) et moi-même, à parler de notre profession. Myriam l’exerçant également, c’est à trois que nous nous sommes exprimées.

Dans cette première partie, nous expliquons comment nous sommes devenues écrivains publics, ce qui nous a motivées à nous lancer dans ce métier si particulier et souvent méconnu, ainsi que les qualités nous semblant requises pour l’exercer. Le Syndicat National des Prestataires et Conseils en Écriture est présenté par Élisabeth, tandis que j’aborde mon initiative de réseau d’échanges de professionnels sur la Loire-Atlantique. Enfin, nous racontons comment nous avons vécu le confinement et de quelles façons notre métier de l’ombre a pu être un soutien pour certaines personnes lors de cette période.

Cette émission me laisse un excellent souvenir. À la joie de présenter aux auditrices et aux auditeurs cette profession qui me passionne, s’est ajoutée celle du partage et des échanges riches avec deux de mes consœurs de la région nantaise, ainsi que la découverte des coulisses d’un studio de radio, les petites astuces et secrets d’un enregistrement.

Voici le lien du podcast de l’émission.

Dans la seconde partie (diffusée en octobre), nous entrerons dans le détail de notre métier en abordant plus précisément l’écriture de biographies et la correction de livres.

Si vous souhaitez devenir écrivain public ou faire appel à un prestataire, ces deux épisodes vous éclaireront certainement !

Je vous souhaite une bonne écoute, bercé par les voix de trois femmes qui ont fait des mots et des histoires de vie leur quotidien ! 
0 Commentaires

La valse des mots : toute une histoire !

16/3/2020

0 Commentaires

 
Cela fait plus de quatre ans que j’ai créé mon activité de biographe – écrivain public – rédactrice, et, jusqu’à présent, je n’avais pas encore de « nom ». Le statut d’autoentrepreneur a la particularité d’identifier l’entreprise par le nom et le prénom de son gérant. Aucune raison sociale n’est requise.

Je m’étais restreinte à cette dénomination. Je crois aussi que je craignais de me coller une étiquette qui aurait pu devenir rapidement obsolète, avec les évolutions de mes prestations. Alors, j’ai pris mon temps. Tout mon temps.
Photo
Hommage à André Minvielle
​

Puis, j’ai fait appel à mes ressentis. J’ai écouté ce qui vibrait en moi pour me connecter à mon essence. Je me suis soudain souvenue que lorsqu’on m’interroge sur le mode de fonctionnement de ma créativité, je réponds que les mots s’alignent naturellement après avoir « dansé » ou « tourné » dans mon esprit. Au demeurant, danser, c’est bien là une activité qui m’a toujours transportée et que j’affectionne.

De fil en aiguille, j’ai repensé à une chanson que j’avais apprise et dont j’admire la beauté des textes. Une chanson qui parle de la vie, « en somme ». La vie qui est elle-même le noyau de mon métier. Il s’agit de De dame et d’homme, d’André Minvielle.

À cet instant, ne pouvant m’empêcher de la réécouter, je me suis penchée d’un peu plus près sur les paroles, convaincue que la réponse que je cherchais se cachait à l’intérieur, à savoir la composante manquante de mon futur nom d’entreprise. Lorsque mes yeux se sont arrêtés sur le mot « valse », un éclair de lumière est apparu. La valse ! Bien sûr ! La valse des mots. Rien ne pouvait plus me correspondre.

À toutes les raisons précédemment évoquées, s’ajoute celle-ci. Je conçois mon métier comme un travail d’équipe. Main dans la main avec ma cliente ou mon client, nous avançons ensemble vers son objectif. Une valse se danse à deux. 

Ainsi, il aura fallu du temps. Mais le temps sait si souvent bien faire les choses. Vient à point ce qui a mûri. Il y a quatre ans, je n’étais pas prête. Aujourd’hui, je suis heureuse de me présenter à vous sous ce doux nom, La valse des mots.

​Je suis mue par une joyeuse danse lexicale, un tourbillon de synonymes, et une chorégraphie de verbes, adjectifs et autres noms qui ondulent avant de s’aligner sur les pages.

Et vous ? Avez-vous une histoire de nom à conter ? Si vous avez créé une entreprise, une association, etc., grâce à quel cheminement avez-vous trouvé son nom ?
0 Commentaires

    Auteur

    Bribes d'histoires du quotidien d'une écrivain public - biographe, anecdotes et actualités.

    Archives

    Octobre 2020
    Septembre 2020
    Mars 2020

    Catégories

    Tout
    Actualités De La Valse Des Mots

    Flux RSS

Raconter sa vie dans un livre, écrire sa vie, c'est pour vous toute une histoire... qui m'intéresse ! 

 Valérie Legorgeu - Biographe, écrivain public, rédactrice
legorgeu.valerie@gmail.com - 06.41.11.51.33
4 La Chênaie du Don - 44290 Conquereuil (entre Nantes et Rennes) 
SIRET : 533 150 181 00048
Mentions légales
  • Accueil
  • Biographies
    • POURQUOI ECRIRE SA VIE ?
    • POURQUOI FAIRE APPEL À UN BIOGRAPHE ?
    • MES PRESTATIONS DE BIOGRAPHE
    • ETHIQUE ET DEONTOLOGIE
    • UN CADEAU ?
  • Autres prestations
    • PARTICULIERS ET ETUDIANTS
    • ENTREPRISES
  • Tarifs
  • Qui suis-je ?
  • Contact
  • Avis clients
  • Blog
  • CGV